Portugal-Algarve-Faro

L’Algarve au printemps : arrivée à Faro.

Pendant que les juillettistes reprennent le chemin du travail et que les aoutiens se reposent enfin, je prends le temps de vous raconter notre voyage en Algarve au printemps dernier et notre arrivée à Faro. J’étais déjà allée à Lisbonne, à Porto et à Madère, mais je ne connaissais pas la côte sud du pays.

Rapidement dans l’ambiance.

Après un vol très matinal et une correspondance à Lisbonne, nous avons atterri en fin de matinée à Faro. Le temps de récupérer les bagages et la voiture, et nous sommes partis direction le centre-ville pour trouver un restaurant.
Il est facile de stationner près du port et de rejoindre le centre à pied. Il fait chaud malgré le vent et le ciel très bleu contraste avec les façades blanches. Les orangers et les amandiers sont couverts de fruits. Les azulejos en plus ou moins bon état nous signalent tout de suite qu’on est au Portugal.

La vieille ville.

La vieille ville est ceinte d’une muraille romaine. Beaucoup de bâtiments ont été construits après le tremblement de terre, au XVIIIè siècle. Les cigognes ont fait leur nid en hauteur. Nous arrivons par la place centrale, le Palais épiscopal et la cathédrale, Igreja da Sé dont les cloches tintinnabulent pour l’Angélus de midi. Tout est réuni : les façades, les places, les sols pavés avec leurs motifs…

 

Tout le centre est piéton.

Dans la vieille ville pavée, les piétons sont prioritaires, c’est toujours confortable. Les terrasses s’étendent davantage et on marche sans trop se soucier. L’ambiance est calme et invite à la détente.

Un déjeuner chez Faz Gustos

En ce mois d’avril, la saison commence à peine, beaucoup de restaurants sont encore fermés. Nous en choisissons un, un peu au hasard (ceux que j’avais repérés sont fermés) : Faz Gostos. C’est finalement un bon choix, nous prenons place en terrasse. Le service est fait en français et le repas très bon. Juste ce qu’il faut pour reprendre des forces et continuer vers notre location.

Rédigé par

anne

" Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page."
 

Saint Augustin