En ce mois de septembre, l’automne n’est pas encore arrivé dans les couleurs de l’Aubrac, mais la température fraiche nous rappelle qu’on n’est plus en été. Et j’ai été surprise de voir à quel point les paysages d’Aubrac étaient dépaysants. Suivez-moi !

La chaussée des géants

Pas besoin d’aller en Irlande, une mini chaussée des Géants se trouve en Lozère, au bord de la D52. Sous un petit crachin typique, la coulée de lave a ici refroidi en laissant de magnifiques prismes hexagonaux sur lesquels coule le ruisseau des Plèches.

Le lac de Saint Andéol

Quelques kilmoètres plus loin, on peut suivre la route des lac glaciaires, témoins d’une époque où les glaciers creusaient le paysage. Le lac de Saint Andéol en est un exemple, entouré des ondulations du paysage où paissent les vaches.

Le fameuse cascade du Déroc

C’est un peu l’incontournable de la région. La cascade du Déroc est une magnifique cascade de 30 m de haut au milieu de prismes basaltiques. On peut passer derrière, même si c’est assez glissant. Vu d’en haut, elle semble surgie de nulle part, mais le débit est en réalité assez impressionnant vu de dessous. Et là, je vous assure que j’avais l’impression d’être retournée en Islande, comparez avec ici !

Le Pont de Marchastel

S’il est plus traditionnel, ce pont offre une très jolie vue sur les prairies alentours. Alors je ne suis jamais allée en Ecosse, mais je pense que le Connemara doit ressembler un peu à ça. Et puis l’Islande avait aussi des airs proches.

Nasbinals

Ce petit village est le cœur de l’exposition Phot’Aubrac, c’est là que nous avons dîné et dormi. Paisible, avec de magnifiques paysages, je ne peux que recommander de venir faire un tour par ici. Nous espérions entendre le brame du cerf, mais c’était encore trop tôt dans la saison.

La brume matinale

En rentrant à Toulouse, la brume sur le Lot avait des airs mystiques. De quoi garder encore un joli souvenir de la région.

Vous le comprendrez, j’ai adoré découvrir l’Aubrac et je compte bien revenir !

Rédigé par

anne

" Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page."
 

Saint Augustin