Après notre baignade dans le Rhin, nos amis avaient proposé une randonnée sur les sommets vosgiens. Je n’avais aucune idée de la difficulté ou du paysage, je n’ai donc eu que de bonnes surprises. Nous sommes donc partis en direction du Markstein, un an avant le Tour de France qui y arrivera en 2026.
Des formes douces
Bien qu’à bonne altitude, les sommets ici ont des formes douces et arrondies, dont les pentes sont boisées et les sommets ras du fait des vaches et des pâturages. La randonnée y est donc particulièrement facile. La station de ski du Markstein présente aussi des pentes douces parfaites pour s’initier au ski.
Des vaches : les vosgiennes
J’ai fait la connaissance de cette espèce qui se caractérise par une robe tachetée brune dont le motif sur le dos redessine les sommets vosgiens.
Le clou de la randonnée: les fermes auberges
Ici, l’effort n’est pas vain. Outre la vue magnifique sur les alentours (et potentiellement la plaine d’Alsace si elle ne se cache pas dans la brume), on n’a que l’embarras du choix pour manger. Le principe est que les fermes offrent des repas à base de produits fermiers pour des prix tout à fait raisonnables. A nous le fromage, les pommes de terre sous toutes leurs formes (tourtes et autres…) et les gâteaux aux myrtilles à côté desquels il serait sacrilège de passer.
Une fois repus, nous sommes redescendus vers la station du Markstein sous le vol des parapentistes. C’est vraiment facile, accessible, on peut faire des boucles de tailles variables et adapter son itinéraire à ses envies ou sa fatigue. Un chouette souvenir.
